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Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | neg |
Avis : " Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". " L'avis est-il positif ou négatif ? | neg |
Critique : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." La critique est-elle positive ou négative ? | neg |
Evaluation : " Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | neg |
Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ?
Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"."
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Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"."
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Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ?
Critique : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"."
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Commentaire du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Avis du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Critique du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Evaluation du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
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CommentaireSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". | neg |
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AvisSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". | neg |
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CritiqueSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". | neg |
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EvaluationSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". | neg |
Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | neg |
Avis : " Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. " L'avis est-il positif ou négatif ? | neg |
Critique : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." La critique est-elle positive ou négative ? | neg |
Evaluation : " Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | neg |
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Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
Réponse : | neg |
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Avis : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Critique : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Evaluation : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Avis : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Critique : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Evaluation : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Evaluation : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant."
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Critique : Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. | neg |
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Commentaire du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Avis du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Critique du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Evaluation du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
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CommentaireTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. | neg |
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CritiqueTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. | neg |
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Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Le commentaire est-il positif ou négatif ? | neg |
Avis : " Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! " L'avis est-il positif ou négatif ? | neg |
Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" La critique est-elle positive ou négative ? | neg |
Evaluation : " Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | neg |
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Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
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Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
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Evaluation : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
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Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ? | neg |
Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
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Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
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Evaluation : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
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Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
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Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !"
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Evaluation : Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! | neg |
Commentaire du produit : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Avis du produit : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Critique du produit : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Evaluation du produit : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
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CommentaireEt si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! | neg |
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AvisEt si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! | neg |
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CritiqueEt si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! | neg |
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EvaluationEt si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! | neg |
Commentaire : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Le commentaire est-il positif ou négatif ? | neg |
Avis : " Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! " L'avis est-il positif ou négatif ? | neg |
Critique : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" La critique est-elle positive ou négative ? | neg |
Evaluation : " Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | neg |
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Avis : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Critique : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Evaluation : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Commentaire : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Avis : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Critique : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Commentaire : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Avis : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Evaluation : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
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Avis : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !"
Réponse : | neg |
allocine_fr_prompt_sentiment_analysis
Summary
allocine_fr_prompt_sentiment_analysis is a subset of the Dataset of French Prompts (DFP).
It contains 5,600,000 rows that can be used for a binary sentiment analysis task.
The original data (without prompts) comes from the dataset allocine by Blard.
A list of prompts (see below) was then applied in order to build the input and target columns and thus obtain the same format as the xP3 dataset by Muennighoff et al.
Prompts used
List
28 prompts were created for this dataset. The logic applied consists in proposing prompts in the indicative tense, in the form of tutoiement and in the form of vouvoiement.
'Commentaire : "'+review+'" Le commentaire est-il positif ou négatif ?',
"""Avis : " """+review+""" " L'avis est-il positif ou négatif ?""",
'Critique : "'+review+'" La critique est-elle positive ou négative ?',
"""Evaluation : " """+review+""" " L'évaluation est-elle positive ou négative ?""",
'Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? \nCommentaire : "'+review+'"\nRéponse :',
'Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? \nAvis : "'+review+'"\nRéponse :',
'Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? \nCritique : "'+review+'"\nRéponse :',
'Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? \nEvaluation : "'+review+'"\nRéponse :',
'Commentaire : "'+review+'"\n Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?',
'Avis : "'+review+'"\n Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?',
'Critique : "'+review+'"\n Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?',
'Evaluation : "'+review+'"\n Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?',
'Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? \n Commentaire : "'+review+'"\n Réponse :',
'Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? \n Avis : "'+review+'"\n Réponse :',
'Cette critique sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? \n Evaluation : "'+review+'"\n Réponse :',
'Cette évaluation sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? \n Avis : "'+review+'"\n Réponse :',
"""Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? \nCommentaire : """+review,
"""Voici un avis laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? \nAvis : """+review,
"""Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? \nCritique : """+review,
"""Voici une évaluation laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? \nEvaluation : """+review,
'Commentaire du produit : "'+review+'" Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?',
'Avis du produit : "'+review+'" Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?',
'Critique du produit : "'+review+'" Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?',
'Evaluation du produit : "'+review+'" Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?',
'Le commentaire suivant exprime quel sentiment ?\n Commentaire' +review,
"""L'avis suivant exprime quel sentiment ?\n Avis""" +review,
'La critique suivante exprime quel sentiment ?\n Critique' +review,
"""L'évaluation suivante exprime quel sentiment ?\n Evaluation""" +review
Features used in the prompts
In the prompt list above, review
and targets
have been constructed from:
allocine = load_dataset('allocine')
review = allocine['train'][i]['review']
targets = str(allocine['train'][i]['label']).replace("0", "neg").replace("1","pos")
Splits
train
with 4,480,000 samplesvalid
with 560,000 samplestest
with 560,000 samples
How to use?
from datasets import load_dataset
dataset = load_dataset("CATIE-AQ/allocine_fr_prompt_sentiment_analysis")
Citation
Original data
Théophile Blard, French sentiment analysis with BERT, (2020), GitHub repository, https://github.com/TheophileBlard/french-sentiment-analysis-with-bert
This Dataset
@misc {centre_aquitain_des_technologies_de_l'information_et_electroniques_2023,
author = { {Centre Aquitain des Technologies de l'Information et Electroniques} },
title = { DFP (Revision 1d24c09) },
year = 2023,
url = { https://huggingface.co/datasets/CATIE-AQ/DFP },
doi = { 10.57967/hf/1200 },
publisher = { Hugging Face }
}
License
MIT
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